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coucou54300
ben oui c'est vrai on peut apprécier certaines choses et d'autres moins
indian
Ben moi, y'a des périodes que j'aime bien et d'autres pas du tout!!
J'ai visité deux fois le musée Dali à Figuéres et il y a pas mal de ses oeuvres au musée d'art moderne de New york et là, j'ai pas trop apprécié.
coucou54300
J'aime Picasso " Guernica "
Flams
j'adore j'avais visiter sont muser mais ya très très longtemps j'aimerai bien le revisiter mais ça fait un peu l'oing
et a ces temps la il était pas accessible mais avec aide des visiteur j'avais visiter tous le musée


Edité le 13-06-2009 à 21:38:26 par Flams


le chardon
j'aime beaucoup Dali mais je n'aime pas du tout le PSG .......
nono
La Catalogne aura toujours une place privilégiée dans son œuvre comme dans sa vie. Dalí est né le 11 mai 1904 (en Catalogne). Son père Salvador Dalí i Cusí[1],[2] était un homme autoritaire et aurait été responsable de la mort du frère ainé de Dalí[réf. nécessaire] appelé Salvador, né le 2 mai 1901 et décédé deux années plus tard.

À sept ans, il peint son premier tableau et veut être Napoléon Bonaparte. En 1922, après un bac obtenu facilement, Dalí entre à l'École des Beaux-Arts de San Fernando, à Madrid. Il se lie d'amitié avec Federico García Lorca et Luis Buñuel mais l'enseignement le déçoit et il se fait expulser pour avoir incité les étudiants à manifester contre l'incompétence d'un nouveau professeur.


Salvador Dalí et Man Ray à Paris en 1934, photo par Carl Van Vechten, photographe américainEn 1924, encore inconnu, il illustre son premier livre : le poème en catalan « Les bruixes de Llers » (« Les sorcières de Llers »), du poète Carles Fages de Climent, ancien camarade de Dalí á l'Institut de Figueres.

En 1926, il fait un premier voyage à Paris et y rencontre Pablo Picasso. Trois ans plus tard, il retourne dans la capitale française, en compagnie de Buñuel, pour le tournage d’Un chien andalou, auquel il participe au scénario. C'est la rencontre décisive avec les surréalistes : Tristan Tzara, Louis Aragon, André Breton, Paul Éluard… et sa femme, Gala. L'apparition de celle-ci est une révélation : il l'a rêvée et peinte avant de la connaître; ils ne se quitteront plus.

En 1930, il veut se suicider a cause d'un chagrin d'amour mais il en est empêché à temps par des amis qui avaient eu vent de son projet. Depuis ce jour, il fut considéré comme un fou déséquilibré.

En 1932, Dalí participe à la première exposition surréaliste aux États-Unis et obtient un succès triomphal. Il accumule les idées et Gala essaie de vendre ses inventions souvent jugées trop folles. C'est le début de la méthode paranoïaque-critique qui veut crétiniser le monde, comme Alfred Jarry voulait le décerveler. Aux récits de rêves et à l'écriture automatique des surréalistes, Dalí ajoute l'objet irrationnel au fonctionnement symbolique. Cependant, à l'issue d'une réunion mémorable, il se fait exclure du mouvement par André Breton qui lui reproche ses actes contre-révolutionnaires . De 1939 à 1948, il s'exile à New York et ses toiles témoignent de ses découvertes du nouveau continent (Poésie d'Amérique, par exemple).

« Pour pénétrer dans la réalité, j'ai l'intuition géniale que je dispose d'une arme extraordinaire : le mysticisme, c'est-à-dire l'intuition profonde de ce qui est, la communication immédiate avec le tout, la vision absolue par la grâce de la vérité, par la grâce divine. »

Cette profession de mysticisme, Dalí va l'appliquer jusqu’à la fin de sa vie aux œuvres qu'il lui reste à créer. Le gigantisme atteint ses dernières toiles, grouillantes de personnages dionysiaques, où il réunit toutes les tendances en -isme : pointillisme, surréalisme, tachisme…

Dalí s'intéressa aussi à bien d'autres arts, et fut en particulier fasciné par le cinéma, la photographie, la mode ou la publicité. En outre, il était passionné par les sciences, notamment par la théorie de la relativité d'Albert Einstein qu'il a représenté à sa façon dans les célèbres « montres molles » de son tableau Persistance de la mémoire.

Selon le couple Lacroix, en 1980, Salvador Dalí aurait semble-t-il été victime d'une dépression nerveuse et ses proches vont commencer à régenter les visites que le maître reçoit.

En 1982 Dalí est fait marquis de Pubol où il vit dans le château qu'il a offert à sa femme. En mai 1983, il peint son dernier tableau, La queue d'aronde. En 1984, il est très gravement brûlé lors de l'incendie de sa chambre, au château de Pubol. Il meurt le 23 janvier 1989 d'une défaillance cardiaque. Conformément à sa volonté, il se fera embaumer puis exposer dans son « Teatre-Museu », où il repose désormais. Une simple pierre indique le lieu de sa sépulture. Par testament, il lègue une grande partie de ses biens et de son œuvre au gouvernement espagnol.
nono
Nouvelle petite erreur de lien, voici la vraie 1ère photo:
coucou54300
Ben moi j'aime bien DALI
nono
Pour animer un peu cet été où comme chaque année le "postage" est un peu faiblard ,je lance un thème d'informations et de discussions, genre j'aime ou j'aime pas , à chacun de s'exprimer sur les j'aime ou j'aime pas des autres et de nous faire partager les siens.

Je commence par :
J'aime la peinture , mon peintre préféré est Salvador DALI .



Premier tableau(mon préféré une crucifixion "vue du dessus" , second "une montre qui coule" l'un des 50 sur le même thème.
 
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